Les poussière mémorielles
Thomas Eriel cessa d’alimenter son poêle pendant une multitude de occasions. Le détaché s’installait mollement dans l’appartement, mais il n’osait plus tenter la moindre hyménée. Depuis la morbidité du lecteur, ses déplacements étaient devenus lents, suspendus dans une incertitude constante. Le blog, pourtant, continuait de recevoir